Good Life, États-Unis, avril 2016
Ma vie n’a pas toujours été remplie de moments positifs. Aussi loin que je m’en souvienne, il manquait à la maison de l’amour et de la chaleur. Ma maman luttait contre la dépression et souvent des personnes complètement étrangères devaient s’occuper de moi. Petite fille, je ne pouvais pas comprendre pourquoi maman était constamment triste, négligée, pourquoi elle n’avait pas la force de me conduire à l’école. Vers la fin de mes études secondaires, maman commença à prendre des médicaments psychotropes qu’elle mélangeait à l’alcool. La thérapie, les conversations, ni même les supplications n’aidaient en rien. Je décidais de commencer mes études loin de la maison car je craignais de perdre la raison en restant.
J’ai terminé mes études avec mention et quelques jours avant la remise des diplômes, j’ai reçu une proposition d’emploi bien rémunéré dans une société financière. Deux ans plus tard, j’ai rencontré mon mari. Je ne sais pas exactement quand j’ai commencé à me sentir mal, mais cela prenait progressivement le contrôle de ma vie. Au début, j’étais constamment fatiguée, même après avoir dormi 8 à 9 heures chaque nuit. Ensuite sont apparues de terribles migraines et des maux d’estomac. J’ai perdu tout intérêt pour des choses que j’adorais faire. Maintenant, nous nous disputions avec mon mari pour des détails et parfois, je sentais que j’explosais pendant ces disputes. Le pire était la douleur émotionnelle permanente et les états d’angoisse irrationnelle. Mon mari m’a convaincue de me rendre chez un psychologue et un psychiatre. On me prescrivit des antidépresseurs et des calmants contre l’angoisse. Je participais à différentes thérapies pendant deux ans et je prenais toute sorte de médicaments, mais rien ne parvenait à m’aider.
Un jour, je vis une interview avec Wanda Pratnicka. Elle discutait avec des gens souffrant de symptômes semblables aux miens. Elle affirmait qu’ils pouvaient être provoqués par les âmes qui ne sont pas passées de l’autre côté du rideau de la mort après leur mort et se sont attachées à une personne vivante. Elle disait également que depuis plusieurs décennies, elle avait aidé plusieurs milliers de personnes à travers le monde entier. Quelques-uns de ses clients répondaient aux questions lors de ce programme. Madame Wanda Pratnicka rappela qu’elle travaillait uniquement à distance et qu’elle n’avait pas besoin d’un contact direct avec le client. Les données personnelles lui suffisent : le prénom et le nom, l’adresse ainsi que la date de naissance pour localiser la personne en question et raccompagner les esprits qui lui sont attachés.
Je décidais de téléphoner au bureau de madame Wanda Pratnicka car j’avais désespérément besoin d’aide. Je voulais aussi sauver mon mariage qui se délitait. J’ai transmis à l’assistant mes données personnelles pour que madame Wanda Pratnicka puisse vérifier si des âmes s’étaient attachées à moi. Je lui ai aussi transmis les données de ma maman, confrontée à des problèmes depuis des années. Lorsque j’ai reçu la confirmation que toutes les deux, maman et moi avions des âmes attachées, j’ai demandé que l’on fasse ce que l’on appelle une purification.
Pendant la purification qui a duré trois mois, madame Wanda Pratnicka raccompagnait les esprits attachés à la personne en vie. Après un mois, je remarquais que j’étais beaucoup plus calme et que le sentiment de tristesse ne m’accablait plus, comme si on m’avait enlevé un poids et mon humeur s’est nettement améliorée. Et que s’est-il passé avec ma maman ? Après deux mois, elle est venue me voir sans s’annoncer. Au début, je n’ai pas reconnu la femme qui se tenait devant moi. Elle avait l’air 15 ans plus jeune, elle était bien habillée et me souriait chaleureusement. À ce moment-là, je compris combien elle avait souffert pendant toutes ces années de ne pouvoir s’occuper de moi. Je ressentais plein d’amour et enfin je pouvais lui pardonner. Aujourd’hui, nous rattrapons ensemble le temps perdu et chaque jour nous ressentons de la gratitude pour l’aide que nous avons obtenue auprès de Wanda Pratnicka.
Ma vie n’a pas toujours été remplie de moments positifs. Aussi loin que je m’en souvienne, il manquait à la maison de l’amour et de la chaleur. Ma maman luttait contre la dépression et souvent des personnes complètement étrangères devaient s’occuper de moi. Petite fille, je ne pouvais pas comprendre pourquoi maman était constamment triste, négligée, pourquoi elle n’avait pas la force de me conduire à l’école. Vers la fin de mes études secondaires, maman commença à prendre des médicaments psychotropes qu’elle mélangeait à l’alcool. La thérapie, les conversations, ni même les supplications n’aidaient en rien. Je décidais de commencer mes études loin de la maison car je craignais de perdre la raison en restant.
J’ai terminé mes études avec mention et quelques jours avant la remise des diplômes, j’ai reçu une proposition d’emploi bien rémunéré dans une société financière. Deux ans plus tard, j’ai rencontré mon mari. Je ne sais pas exactement quand j’ai commencé à me sentir mal, mais cela prenait progressivement le contrôle de ma vie. Au début, j’étais constamment fatiguée, même après avoir dormi 8 à 9 heures chaque nuit. Ensuite sont apparues de terribles migraines et des maux d’estomac. J’ai perdu tout intérêt pour des choses que j’adorais faire. Maintenant, nous nous disputions avec mon mari pour des détails et parfois, je sentais que j’explosais pendant ces disputes. Le pire était la douleur émotionnelle permanente et les états d’angoisse irrationnelle. Mon mari m’a convaincue de me rendre chez un psychologue et un psychiatre. On me prescrivit des antidépresseurs et des calmants contre l’angoisse. Je participais à différentes thérapies pendant deux ans et je prenais toute sorte de médicaments, mais rien ne parvenait à m’aider.
Un jour, je vis une interview avec Wanda Pratnicka. Elle discutait avec des gens souffrant de symptômes semblables aux miens. Elle affirmait qu’ils pouvaient être provoqués par les âmes qui ne sont pas passées de l’autre côté du rideau de la mort après leur mort et se sont attachées à une personne vivante. Elle disait également que depuis plusieurs décennies, elle avait aidé plusieurs milliers de personnes à travers le monde entier. Quelques-uns de ses clients répondaient aux questions lors de ce programme. Madame Wanda Pratnicka rappela qu’elle travaillait uniquement à distance et qu’elle n’avait pas besoin d’un contact direct avec le client. Les données personnelles lui suffisent : le prénom et le nom, l’adresse ainsi que la date de naissance pour localiser la personne en question et raccompagner les esprits qui lui sont attachés.
Je décidais de téléphoner au bureau de madame Wanda Pratnicka car j’avais désespérément besoin d’aide. Je voulais aussi sauver mon mariage qui se délitait. J’ai transmis à l’assistant mes données personnelles pour que madame Wanda Pratnicka puisse vérifier si des âmes s’étaient attachées à moi. Je lui ai aussi transmis les données de ma maman, confrontée à des problèmes depuis des années. Lorsque j’ai reçu la confirmation que toutes les deux, maman et moi avions des âmes attachées, j’ai demandé que l’on fasse ce que l’on appelle une purification.
Pendant la purification qui a duré trois mois, madame Wanda Pratnicka raccompagnait les esprits attachés à la personne en vie. Après un mois, je remarquais que j’étais beaucoup plus calme et que le sentiment de tristesse ne m’accablait plus, comme si on m’avait enlevé un poids et mon humeur s’est nettement améliorée. Et que s’est-il passé avec ma maman ? Après deux mois, elle est venue me voir sans s’annoncer. Au début, je n’ai pas reconnu la femme qui se tenait devant moi. Elle avait l’air 15 ans plus jeune, elle était bien habillée et me souriait chaleureusement. À ce moment-là, je compris combien elle avait souffert pendant toutes ces années de ne pouvoir s’occuper de moi. Je ressentais plein d’amour et enfin je pouvais lui pardonner. Aujourd’hui, nous rattrapons ensemble le temps perdu et chaque jour nous ressentons de la gratitude pour l’aide que nous avons obtenue auprès de Wanda Pratnicka.